Vous êtes tombé amoureux du Cambodge et des cambodgiens lors d’un voyage, l’histoire à la fois dramatique et hors du commun du pays vous fascine, vous vous interrogez sur l’évolution de la société actuelle ? Nous vous proposons une petite sélection de 5 films pour vous dépayser directement depuis votre canapé.
Le temps des aveux (2014)
Ce film est adapté du livre « Le Portail » écrit par François Bizot, ethnologue français, fait prisonnier en 1971 par les khmers rouges alors qu’il travaillait à la restauration des temples d’Angkor. Emmené dans un camp et accusé d’espionnage, son geôlier n’est autre que Douch qui deviendra par la suite le dirigeant tortionnaire de la prison S-21.
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Les Pépites (2016)
Un documentaire poignant présentant les actions de l’association Pour un Sourire d’Enfant (PSE) au Cambodge depuis 1995. Vous découvrirez le combat mené par Christian et Marie-France pour sortir les enfants autrefois contraints, de travailler dans la décharge de Phnom Penh, ainsi que les témoignages pleins d’espoir de ces nombreuses « pépites ».
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Diamond Island (2016)
Dans ce film, Davy Chou, réalisateur franco-cambodgien, met en lumière les rêves et réalités de jeunes ayant quitté leur vie à la campagne pour venir travailler sur les chantiers de la capitale. Les scènes se passent sur Diamond Island ou Koh Pich en khmer, un nouveau quartier destiné à une clientèle aisée construit ex-nihilo.
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D’abord ils ont tué mon père (2017)
Uniquement disponible sur Netflix, cette adaptation par Angelina Jolie du livre autobiographique de Loung Ung, nous montre la période tragique des Khmers rouges à travers le regard d’une enfant. Ce film retrace le parcours de milliers de cambodgiens, leurs émotions, leur quotidien, de la prise de Phnom Penh à la libération.
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Funan (2018)
Un film d’animation pour parler de la dictature khmère rouge ? C’est chose faite avec Funan, récompensé lors du Festival International du film d’animation à Annecy. « Je voulais d’abord raconter des vies humaines plus que le régime khmer rouge. […] Ce qui m’intéressait c’était de rendre compte de l’humanité de cette famille et de cette femme, ma mère. Une humanité qui explore tout ce que nous sommes, ni en bien ni en mauvais. » indique le réalisateur dans une interview.
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